On vous conseille
Exposition PACBO à Ornacieux-Balbins
Les 5 et 6 avril 2025
à la salle des fêtes
d’Ornacieux-Balbins
Exposition d’Art de l’Association PACBO
Artiste invitée: Janine Kucharczyk
Exposition ouverte:
Le samedi 5 avril 2025 de 14h à 18h.
et le dimanche 6 avril de 10h à 12h et de 18h à 18h.
Vous êtes invité au vernissage le samedi 5 avril à 18h.
Eugène Boudin – Le père de l’impressionnisme : une collection particulière
Du 9 avril au 31 août 2025
au Musée Marmottan Monet,
2, rue Louis Boilly, 75016 Paris
Eugène Boudin – Le père de l’impressionnisme
une collection particulière
Le Musée Marmottan Monet, situé à Paris, mettra à l’honneur du 9 avril au 31 août 2025, le peintre emblématique Eugène Boudin. Cette exposition inédite, appelée « Eugène Boudin – Le père de l’impressionnisme : une collection particulière », présentera plus de 90 œuvres issues de collection de musées. Depuis ses paysages normands jusqu’à ses marines du Midi et de Venise, cette exposition est l’occasion de (re)découvrir un peintre qui joua un rôle déterminant dans l’émergence du mouvement impressionniste.
Une exposition inédite d’Eugène Boudin
Pour cette exposition, le Musée Marmottan a vu les choses en grand. Ce sont, au total, plus de 90 œuvres du peintre Eugène Boudin qui seront partagées au public. Cet événement, sous le commissariat de l’historien de l’art Laurent Manœuvre, réunit 80 œuvres provenant de la prestigieuse collection de Yann Guyonvarc’h, 10 toiles de l’institution parisienne ainsi que plusieurs œuvres du musée des Beaux-Arts d’Agen et du musée d’art moderne André Malraux du Havre. Des prêts nombreux et prestigieux qui offriront une vision complète de l’œuvre d’Eugène Boudin.
Une chance pour le public, d’autant que les œuvres de l’artiste sont plus que jamais appréciées et reconnues. La preuve : en décembre dernier, l’un de ses tableaux, « La Jetée, Trouville », était vendu aux enchères à Bordeaux pour près de 23 000 euros, rapporte Le Figaro. Une aura qui ajoute à l’exposition une importance particulière et nous donne d’autant plus envie d’en découvrir plus sur l’héritage du peintre. À travers un parcours organisé en huit sections, les amateurs d’art pourront retracer la carrière d’Eugène Boudin. Né à Honfleur en 1824, il a consacré sa carrière à représenter des scènes maritimes, des ports et des plages. Sa technique de peinture en plein air, audacieuse et spontanée, a influencé une génération d’artistes et a rompu avec les traditions académiques d’alors. Parmi ces peintres, un certain Claude Monet, élève et ami d’Eugène Boudin. Ce dernier l’encouragea à peindre en plein air, une pratique qui marqua l’ensemble de sa carrière. Le peintre de chef d’œuvre « Impression, soleil levant » exposé au Musée Marmottant Monet, reconnaissait d’ailleurs cette influence majeure en déclarant : « Je dois tout à Boudin. » L’exposition « Eugène Boudin – Le père de l’impressionnisme : une collection particulière » souligne ce rôle fondamental à travers des œuvres dialoguant avec celles de Monet.
Cezanne à Aix-en-Provence
Du 28 juin au 12 octobre 2025
au musée Granet
à Aix-en-Provence
Cezanne au Jas de Bouffan
Paul Cezanne est de retour chez lui. De sa maison familiale du Jas de Bouffan à la montagne Sainte-Victoire, le peintre a passé une grande partie de sa vie à croquer les paysages et les habitants de sa ville natale. Près de cent vingt ans après sa disparition en 1906, la cité provençale lui consacre un « grand événement » baptisé « Cezanne 2025″. Au cœur de la ville, tout près du collège qu’il fréquenta avec son ami Émile Zola, le musée Granet avec l’exposition Cezanne au Jas de Bouffan (Nouvelle fenêtre) reviendra sur quelque quarante ans passés dans cette bastide achetée par son père où il peignit certains de ses plus grands tableaux : les célèbres Joueurs de cartes, des natures mortes, des baigneuses, des portraits et des autoportraits. Les plus grands musées du monde ont prêté une centaine d’œuvres représentant cette propriété vendue à regret en 1899.
On pourra aussi découvrir des peintures de jeunesse méconnues de l’ombrageux Cezanne. Cette exposition complétera la restauration progressive, entre 2025 et 2026, pour un montant de 4,7 millions d’euros, de la fameuse bastide rachetée par la ville en 2018. Elle sera partiellement ouverte au public l’été prochain. L’atelier des Lauves où Cezanne travailla jusqu’à sa mort a également été restauré. Les lieux et les objets sont restés dans l’état où il les a laissés donnant l’impression émouvante qu’il occupe encore cette petite maison. Une expérience immersive sur un terrain attenant acquis par le Ville sera dévoilée l’été prochain.
Claude Monet aux Baux-de-Provence
Du 31 janvier 2025 au 4 janvier 2026
au Carrières de Lumières des Baux-de-Provence
Claude Monet aux Baux-de-Provence
Le site exceptionnel des Carrières de Lumières, au pied du château des Baux-de-Provence, consacre sa nouvelle rétrospective numérique au maître de l’impressionnisme. Conçue par Nicolas Charlin, elle est sous-titrée, Impression, soleil levant, en référence au célèbre tableau de Monet qui donna son nom au mouvement. Le directeur artistique s’est intéressé à la longévité de l’artiste, mort à 86 ans. Il vécut à cheval entre le XIXe et le XXe siècle à une période de grands bouleversements technologiques et sociaux.
Le peintre a su capter les transformations de son époque et les intégrer dans ses toiles, créant des œuvres à la fois sensibles et d’une grande modernité. La force des expositions immersives dans ces anciennes carrières de bauxite est de permettre au public de contempler les projections, en très haute définition et en musique, de ces chefs-d’œuvre dispersés dans le monde entier qu’aucun musée ne pourrait réunir. La seconde partie de l’exposition est consacrée au Douanier Rousseau.
De Renoir à Van Dongen
Du 4 décembre 2024 au 4 mai 2025
aux musées de Bagnols-sur-Cèze et de Pont-Saint-Esprit
De Renoir à Van Dongen
le Conseil départemental vous invite à découvrir l’exposition inédite : « De Renoir à van Dongen ». Venez admirer gratuitement des œuvres dignes des plus grands musées, exposées simultanément au Musée laïque d’art sacré du Gard à Pont-Saint-Esprit et au Musée Albert-André, dans l’enceinte de l’hôtel de ville de Bagnols-sur-Cèze.
Auguste Renoir, Pierre Bonnard, Aristide Maillol, Camille Claudel, Kees van Dongen : une incroyable galerie de chefs-d’œuvre vous attend issue de la riche collection associée au grand peintre bagnolais Albert André.
Avec le Conseil départemental du Gard, Osez la culture !
Les chefs-d’œuvre d’Hokusai à Nantes
Du 28 juin au 7 septembre 2025
au musée d’histoire de Nantes du château des ducs de Bretagne
Les chefs-d’œuvre d’Hokusai à Nantes
Vagues, dragons, phénix… le château des ducs de Bretagne, qui abrite le musée d’histoire de Nantes, accueille 150 œuvres du maître japonais de l’estampe : Katsushika Hokusai. Après les samouraïs en 2014 et Toshihiro Hamano en 2021, cette exposition a été construite avec le musée Hokusai-kan, situé à Obuse, près de Nagano, dans les Alpes japonaises. Hokusai fit quatre séjours dans cette ville à la fin de sa vie, entre 1844 et 1846.
Elle lui inspira des peintures et des décors importants. L’exposition mettra en exergue plusieurs thèmes chers au maître japonais notamment sa relation à la nature, au végétal et à l’eau et sa confrontation au paysage en particulier le mont Fuji. La majeure partie des œuvres prêtées, dont une quarantaine de peintures, n’ont jamais quitté le Japon.
Les copistes à Metz
Du 14 juin 2025 au 12 janvier 2026
au Centre Pompidou
1, parvis des Droits de l’Homme
57020 Metz
Copistes
La copie est au cœur de la création artistique classique : les peintres copiaient autrefois les toiles des grands maîtres pour apprendre d’eux. On pense notamment à Delacroix, Matisse ou encore Picasso. En collaboration avec le Louvre, dernier musée à être encore titulaire d’un bureau des copistes, le Centre Pompidou-Metz consacre cette exposition inédite à la création de copistes.
Les deux commissaires ont invité plusieurs artistes à relever un défi formulé ainsi : « À partir de l’œuvre de votre choix conservée parmi les collections du musée du Louvre, imaginez sa copie. » Des peintres, des dessinateurs, des sculpteurs, des vidéastes, des designers et des écrivains se sont prêtés à l’exercice.
Les sorcières à Pont-Aven
Du 7 juin au 16 novembre 2025
au Musée de Pont-Aven
Place Julia, 29930 Pont-Aven
SORCIERES, fantasmes, savoirs, liberté (1860-1920)
Longtemps les sorcières ont incarné le vice, le mal, la vieillesse et la mort. La parution en 1862 du livre La Sorcière de l’historien Jules Michelet marque une rupture. En dévoilant les multiples visages de ces femmes, il réenchante la figure de la sorcière qui devient un emblème de révolte, de connexion à la nature et le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire.
Elle personnifie la femme forte qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Le parcours de l’exposition Sorcières (1862-1914), réalisée en partenariat avec le musée parisien d’Orsay, fait dialoguer les arts : peinture, sculpture, photographie, cinéma, musique, danse et littérature.
« S’habiller en artiste »
Du 26 mars au 21 juillet 2025
au Louvre-Lens
« S’habiller en artiste »
L’habit fait-il l’artiste ? Les toques et les turbans de Rembrandt, les robes de Sonia Delaunay, les foulards de Vigée-Lebrun, la robe de chambre de Balzac par Rodin, la perruque d’Andy Wahrol… Avec le soutien du musée d’Orsay, cette exposition sous-titrée L’Artiste et le Vêtement se propose d’analyser les tenues choisies par les artistes lorsqu’ils font leur autoportrait ou lorsqu’ils sont représentés par d’autres artistes. Près de 200 œuvres (peintures, sculptures, dessins) allant de la Renaissance à nos jours seront réunies ainsi que des photographies, des vêtements et des accessoires.
Quand le vêtement fait corps avec l’artiste, que dit-il de son intimité, de sa personnalité, de ses états d’âme ? L’exposition s’attardera aussi sur les collaborations et les hybridations de plus en plus étroites entre les artistes, les couturiers et les designers.
Hervé Di Rosa à Marseille
Du 12 mars au 1er septembre 2025
au Mucem de Merseille
Hervé Di Rosa
L’artiste sétois Hervé Di Rosa, concepteur de l’art modeste, a pensé qu’il y avait comme un air de famille entre ses œuvres colorées et les objets d’art populaires du Mucem. Il a donc choisi certaines pièces dans les collections du musée marseillais touchant sa sensibilité, pour créer, autour de chacune d’elles, une pièce complémentaire. Une armoire bretonne, un fusil de chasse, des jougs de bœuf, un orgue forain, pour ne citer que quelques exemples.
Pour présenter ce travail d’enchâssement des collections du Mucem par ses œuvres réalisées sur mesure (principalement des céramiques et des sculptures en bois), Jean Seisser, directeur artistique et vieux complice d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacune de ces îles rapproche quelques-uns des objets du musée d’une création d’Hervé Di Rosa.
Les fêtes et célébrations flamandes à Lille
Du 26 avril au 31 août 2025
au Palais des Beaux-Arts
A LILLE
Les fêtes et célébrations flamandes
Bals princiers, mariages ou kermesses populaires, le Palais des beaux-arts de Lille sera à la fête au printemps avec une exposition consacrée au divertissement collectif dans l’espace public, la première à répertorier et à traiter tous les types de fêtes en Flandre au XVIe et XVIIe siècles. Une centaine d’œuvres seront réunies (peintures, dessins, objets) notamment des toiles de grands maîtres de la peinture flamande comme Brueghel, Rubens ou encore Jacob Jordaens.
Rituel social, exutoire dans les périodes d’épidémie ou de guerre, la fête porte des valeurs propres à cette région qui résonnent encore aujourd’hui.
L’art contemporain au château d’Aubenas
jusqu’au 30 mars 2025
au château d’Aubenas
L’art contemporain au château d’Aubenas
L’été dernier, ce château médiéval aux tuiles vernissées, qui domine la vallée de l’Ardèche, s’est transformé en Centre d’art contemporain et du patrimoine. Il a déjà accueilli en six mois plus de 30 000 visiteurs. Les deux premières expositions, très réussies, proposaient un regard sur un peintre du pays, Gérard Lattier (Mythologies ardéchoises, toujours en cours) et un parcours immersif fait d’installations et d’œuvres d’artistes contemporains venus des quatre coins du monde.
Jusqu’au 30 mars, trois nouvelles expositions sont présentées (Dans une rouge clairière, Une route sans fin, J’ai pleuré devant la fin d’un manga) en attendant la saison d’été. Les pierres blondes et les grandes pièces du château restauré sont un bel écrin.
1925-2025: regards sur l’Art déco
Du 20 octobre 2025 au 29 mars 2026
au MAD – Musée des Arts décoratifs
107, rue de Rivoli, 75001 Paris
1925-2025. Cent ans d’Art déco
e musée des Arts décoratifs célèbre le centenaire de l’Art déco dans une exposition à la scénographie contemporaine. En 1925, l’Exposition des arts décoratifs et industriels modernes à Paris marque l’apogée de l’Art déco. Décorateurs, fabricants, magazines, grands magasins, artistes et même des nations étrangères se livrent une concurrence acharnée pour prendre possession des bâtiments parisiens ou érigent des structures temporaires pour présenter leurs dernières créations.
Du 21 octobre 2025 au 22 février 2026, le musée des Arts décoratifs célèbre le centenaire de ce style majeur et son succès, dans une exposition à la scénographie contemporaine.
Sargent – Les années parisiennes (1874-1884)
Du 23 septembre 2025 au 11 janvier 2026
au Musée d’Orsay
Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, 75007 Paris
Sargent – Les années parisiennes (1874-1884)
John Singer Sargent (Florence, 1856 – Londres, 1925) est, avec James McNeill Whistler, l’artiste américain le plus célèbre de sa génération et sans doute l’un des plus grands peintres du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Adulé aux États-Unis (son portrait de Madame X est considéré comme la Joconde de la collection d’art américain du Metropolitan Museum of Art à New York), il est aussi célébré au Royaume-Uni où il a effectué la majeure partie de sa carrière. En France, cependant, son nom et son œuvre restent très largement méconnus, ce que l’exposition du musée d’Orsay à l’automne 2025 espère changer.
Conçue en partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New York, l’exposition « Sargent. Les années parisiennes » vise à faire découvrir ce peintre à un large public. L’exposition réunit plus de 90 œuvres de John Singer Sargent, dont certaines n’ont jamais été présentées en France. Elle retrace l’ascension fulgurante du jeune artiste, arrivé à Paris en 1874 à l’âge de 18 ans pour étudier avec Carolus-Duran. L’exposition couvre son parcours jusqu’au milieu des années 1880, période où il s’installe à Londres après le scandale suscité par son portrait de Madame Gautreau (Madame X) au Salon.
Tous Léger
Du 19 mars 2025 Au 20 juillet 2025
au Musée du Luxembourg
19, rue de Vaugirard, 75006 Paris
« Tous Léger »
Fernand Léger, artiste visionnaire, a marqué l’histoire de l’art en captant l’énergie du monde moderne et en transformant le quotidien en œuvre d’art. Son « Nouveau Réalisme », défini dès les années 1920, a influencé des générations d’artistes bien après lui.
Avec l’exposition Tous Léger ! le Musée du Luxembourg met en lumière son héritage à travers un dialogue inédit avec les Nouveaux Réalistes et d’autres figures majeures de la seconde moitié du XXe siècle, comme Yves Klein, Niki de Saint Phalle ou Keith Haring. Une immersion captivante dans un art libre, coloré et résolument contemporain.
Pierre Soulages. Peintures sur papier
Dans le Flou, une autre vision de l’art de 1945 à nos jours
Du 30 avril au 18 août 2025
au Musée de l’Orangerie
Jardin des Tuileries, 75001 Paris
Dans le Flou, une autre vision de l’art de 1945 à nos jours
Pour la première fois, l’Orangerie fait le point sur le flou. En partant de ses racines esthétiques (Monet, sa maladie des yeux et ses Nymphéas nébuleux), cette exposition thématique fait dialoguer œuvres picturales, vidéos, photographies et installations pour montrer l’importance du flou, du confus, de l’incertain dans la création contemporaine. En créant une distance bienvenue avec la réalité, le flou permet des réinterprétations d’un monde où s’érodent les certitudes.
David Hockney
Du 9 avril au 1er septembre 2025
à la Fondation Louis Vuitton
8, avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris
David Hockney
la Fondation invite David Hockney, l’un des artistes les plus influents des XXᵉ et XXIᵉ siècles, à investir l’ensemble de ses espaces d’exposition. Cette présentation exceptionnelle de plus de 400 œuvres de 1955 à 2025 rassemble, outre un fonds majeur provenant de l’atelier de l’artiste et de sa fondation, des prêts de collections internationales, institutionnelles ou privées.
L’exposition réunira des créations réalisées avec les techniques les plus variées – des peintures à l’huile ou à l’acrylique, des dessins à l’encre, au crayon et au fusain, mais aussi des œuvres numériques (dessins photographiques, à l’ordinateur, sur iPhone et sur iPad) et des installations vidéo.
Suzanne Valadon
Du 15 janvier au 26 mai 2025
au Centre Pompidou
rue Saint-Martin, Paris 4e
Suzanne Valadon
Suzanne Valadon de retour au centre – de Paris et de l’attention muséale. Si son atelier-appart a été ouvert au public en 2014 dans le musée de Montmartre, voilà plus de cinquante ans – c’était en 1967 – que l’œuvre de Suzanne Valadon n’avait pas fait l’objet d’une expo majeure. Une incongruité gommée par le Centre Pompidou qui revient du 15 janvier au 26 mai 2025 sur son parcours dans la sphère artistique de la – environ – première moitié du XXe siècle.
A travers 200 œuvres – peintures et dessins – dont certaines peu ou pas montrées, Beaubourg racontera comment Valadon est devenue une personnalité clé dans l’empouvoirement des femmes artistes, entre son obstination à vouloir représenter le réel à tout prix à l’époque du cubisme et de l’art abstrait débutant, et sa représentation (pionnière par une femme) du nu masculin en grand format. Une exposition qui causera de la Bohème parisienne – Valadon fut un emblème du Montmartre musette –, et dans laquelle seront présentées des photos et des manuscrits ainsi que des tableaux d’artistes femmes contemporaines.
Matisse et Marguerite : le regard d’un père
Du au
au Musée d’Art Moderne de Paris
Matisse et Marguerite : le regard d’un père
Le Musée d’Art Moderne de Paris propose une exposition inédite d’Henri Matisse (1869-1954), l’un des plus grands artistes du XXème siècle. Rassemblant plus de 110 œuvres (peintures, dessins, gravures, sculptures, céramique), elle propose de montrer le regard d’artiste et de père que Matisse porte sur sa fille ainée, Marguerite Duthuit-Matisse (1894-1982), figure essentielle mais discrète de son cercle familial.
L’exposition présente de nombreux dessins rarement sinon jamais montrés au public, ainsi que d’importants tableaux venus de collections américaines, suisses et japonaises exposés en France pour la première fois. Des photographies, documents d’archives et œuvres peintes par Marguerite elle-même complètent l’évocation de cette personnalité méconnue du grand public.
Artemisia, héroïne de l’art
Du 19 mars au 3 août 2025
au Musée Jacquemart André
158 bd Haussmann, Paris 8e
Artemisia, héroïne de l’art
Le Musée Jacquemart-André met à l’honneur en 2025 l’artiste romaine Artemisia Gentileschi (1593 – vers 1656). Personnalité au destin hors norme, cette protagoniste de la peinture caravagesque est l’une des rares artistes femmes de l’époque moderne ayant connu de son vivant une gloire internationale et qui put vivre de sa peinture. À travers une quarantaine de tableaux, réunissant aussi bien des chefs-d’œuvre reconnus de l’artiste, des toiles d’attribution récente, ou des peintures rarement montrées en dehors de leur lieu de conservation habituel, cette exposition met en valeur le rôle d’Artemisia Gentileschi dans l’histoire de l’art du XVIIe siècle.
L’exposition tend notamment à démontrer la profonde originalité de son oeuvre, de son parcours et de son identité, qui demeurent encore aujourd’hui une source d’inspiration et de fascination. L’histoire d’Artemisia traverse les siècles, et la lecture que l’on peut faire de son oeuvre – reflet de son vécu et de sa résilience – s’avère intemporelle et universelle.
L’art dans la rue, au musée d’Orsay
Du 18 mars au 6 juillet 2025
au Musée d’Orsay,
Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, Paris 7e
L’art dans la rue
Avec cette exposition, le musée d’Orsay s’intéressera à l’affiche illustrée à Paris dans la seconde moitié du 20e siècle en présentant près de 300 œuvres des « maîtres de l’affiche » comme Toulouse-Lautrec, Bonnard, Mucha… Cette exposition retracera aussi les mutations sociales et culturelles qui ont permis le développement de cet art de rue.
Paris 1874, impressionnisme virtuel 2024
A partir d’octobre 2024
ECLIPSO, centre commercial confluence
112 cours Charlemagne à Lyon
Paris 1874, impressionnisme virtuel 2024
Paris, 15 avril 1874, huit heures du soir. Dans l’ancien atelier du célèbre photographe Nadar, boulevard des Capucines, une trentaine d’artistes indépendants s’apprêtent à exposer des œuvres novatrices en dehors du Salon officiel. Ambitieux, provocateurs, visionnaires… ces peintres s’appellent Claude Monet, Auguste Renoir, Berthe Morisot, Paul Cézanne, Camille Pissarro ou encore Edgar Degas. Cette initiative a marqué le coup d’envoi de l’un des courants majeurs de l’histoire de l’art : l’impressionnisme. Partez sur les traces de ce groupe de peintres audacieux et revivez, en réalité virtuelle, la naissance de ce grand mouvement artistique !
Découvrir la naissance de l’impressionnisme : Ce voyage temporel vous emmènera au-delà de l’exposition vers des lieux emblématiques des débuts du mouvement impressionniste. Vous serez ainsi transporté au Salon de peinture et de sculpture, puis dans l’atelier du peintre Frédéric Bazille, où l’idée de cette exposition a germé. Vous vous retrouverez également sur l’île de la Grenouillère, en compagnie de Monet et Renoir peignant ensemble, et enfin au Havre, où Monet a réalisé son célèbre tableau « Impression, soleil levant ». Ces différentes rencontres permettent de saisir progressivement les liens d’amitié et de rivalité qui unissent les membres du groupe, la nature de leur quête artistique et l’ampleur du mouvement qu’ils sont en train de créer.
Reconstitution historique et expertise scientifique : A quoi ressemblait le Paris de l’époque ? Comment l’atelier de Nadar était-il agencé ? Comment se présentait l’accrochage des tableaux de l’exposition ? Quelle était l’apparence des peintres ? Cette expérience est le fruit d’un travail scientifique ambitieux et minutieux, accompagné par le musée d’Orsay et ayant permis de reconstituer, aussi fidèlement que possible, ce tournant artistique majeur.
Collection Pearlman : un dépôt exceptionnel
A partir du 28 juin 2025
Pour une durée de 3 ans
à la chapelle des Pénitents Blancs à Aix-en-Provence
Collection Pearlman : un dépôt exceptionnel
Présentant 24 œuvres notables de Cezanne, dont l’une des plus belles peintures de la Sainte-Victoire – au cœur d’une année dédiée au maître aixois -, des Van Gogh, mais aussi des Toulouse-Lautrec, Gauguin ou encore Degas, elle va prendre place dans les espaces de la chapelle des Pénitents blancs et cohabitera avec une partie de la collection Planque présentée depuis 2013.
La collection Pearlman constitue aujourd’hui encore l’une des plus importantes collections d’art européen des États-Unis. Il y a 10 ans, les tableaux exposés au musée Granet avaient déjà attiré plus de 115 000 visiteurs.
Ce prêt à la Ville est le fruit d’une relation établie avec la Fondation, mais aussi un hommage de longue date de Henry et Rose Pearlman pour Aix et son rôle majeur dans l’oeuvre de Cezanne.
Pierre Mondan, un peintre dauphinois, présenté par Patrice Lanet
Cliquer sur les tableaux pour les agrandir
Une grande partie de l’oeuvre de Pierre Mondan (1900-1981) traduit la beauté du lac de Paladru et de ses environs, les villages, les fermes,
les maisons dauphinoises. Durant trois ans, il sera pensionnaire de la Casa Vélasquez à Madrid. Il dispensait des cours de peinture et de dessin et ses expositions dans la capitale (galerie Durand-Ruel) ou en province, se déroulaient entre 1940 et 1970.
Jean-Paul Gautier – Artiste peintre

Jean-Paul Gautier – Artiste Peintre à la Côte Saint André
Né en 1952 en Avignon, réside actuellement à la Côte-St-André en Isère; autodidacte, son œuvre prend naissance dans les années 80. Pour l’essentiel dans le Nord-Isère, mais également en Provence et en Bretagne.Ses thèmes de prédilection sont les paysages et les gens.
Analyste chercheur et humaniste, il puise dans les leçons des grands maîtres du passé et porte un regard sensible sur tout ce qui l’entoure, il affectionne particulièrement les gestes de la ruralité, les scènes traditionnelles de la campagne et le plaisir immédiat de peindre la nature.
Daise-Desarmagnat

Ma démarche s’annonce comme “synthétisme existential”. Ces termes ont été finalement adoptés selon l’aspect récent d’un ensemble pictural commencé en 1963.
l’atelier est situé en Rhône-Alpes, entre la plaine de la Bièvre et la grande forêt de Chambaran, sur l’axe Lyon-Grenoble, il est proche de la Côte Saint André, ville natale d’Hector Berlioz, proche également de Saint Etienne de Saint Geoirs où naquit en 1898 Rose Valland Officier Beaux-Arts, héroïne infatigable ayant accompli une tâche extraordinaire pour la restitution des œuvres spoliées durant l’occupation.
Damien Capelazzi

Il y a plus de 20 ans maintenant, Damien Capelazzi, historien et critique d’art a créé Artagora, une entreprise culturelle, basée sur Lyon, qui a pour vocation la transmission de l’art. Il propose des conférences au cours desquelles il présente la vie d’un artiste et son œuvre. Pour de plus amples informations, consulter le site
Cyril Devès
