On vous conseille
Étretat, par-delà les falaises. Courbet, Monet, Matisse
Du 29 novembre 2025 au 1er mars 2026
au Musée des Beaux Arts de Lyon
Étretat, par-delà les falaises. Courbet, Monet, Matisse
Certaines des peintures représentant Étretat ont acquis au fil du temps un statut iconique et se sont imposées dans l’imaginaire collectif. Le musée des Beaux-Arts de Lyon, en partenariat avec le Städel Museum de Francfort, présente une exposition consacrée aux représentations d’Étretat, prenant appui sur quatre œuvres majeures conservées dans les collections des deux institutions, toutes réalisées à Étretat : deux Vagues de Gustave Courbet (1869-1870), ainsi que deux peintures de Claude Monet, Le Déjeuner (1868-1869) et Mer agitée à Étretat (1883). Ces œuvres témoignent de l’importance clé de ce village de la côte normande dans l’élaboration de nouveaux langages picturaux au fil du XIXe siècle : l’exposition, à travers un ensemble de peintures, dessins, photographies et d’archives, retrace l’histoire de la découverte du village par les artistes, peintres puis écrivains, et la construction de celui-ci en tant que paysage mythique, d’Eugène Isabey à Henri Matisse. Le site est découvert dans les années 1820 par les artistes romantiques, dans le sillage d’Eugène Isabey. Ils sont séduits par le sublime de ce décor, avec ses falaises et ses portes taillées dans la craie, resté préservé car à l’écart des voies de communication.
Nombreux sont les artistes, français ou étrangers, à venir séjourner en ces lieux : Eugène Le Poittevin, Johann Wilhelm Schirmer, Eugène Delacroix, Camille Corot et même Victor Hugo. Étretat s’affirme alors comme l’un des centres de la nouvelle peinture. Courbet peint durant l’été 1869 plusieurs tableaux qui comptent parmi ses plus grands succès. Monet y séjourne régulièrement entre 1883 et 1886, travaillant sur le motif des falaises, saisies sous différentes lumières et à divers moments de la journée. À leur suite, Henri Matisse vient en 1920 et livre un épilogue à ce récit en entamant un dialogue avec ses deux illustres aînés. La spécificité d’Étretat est ainsi de devoir sa réputation d’abord aux peintres, puis aux écrivains qui contribuèrent à prolonger le succès croissant de ce lieu de villégiature, qu’il s’agisse d’abord d’Alphonse Karr, de Gustave Flaubert, et surtout de Guy de Maupassant, puis de Maurice Leblanc. Alors que le site d’Étretat est aujourd’hui en péril, fragilisé par une surfréquentation touristique ainsi que par l’érosion des falaises accélérée par les effets du réchauffement climatique, l’exposition interroge notre regard sur le paysage : comment un motif s’est-il ainsi détaché, par l’impact conjugué de la littérature et de la peinture, jusqu’à investir un rôle symbolique et devenir un emblème identitaire, connu par-delà les frontières ?
Une exposition du musée des Beaux-Arts de Lyon en collaboration avec le Städel Museum, Francfort-sur-le-Main.
Un certain regard
Du 28 juin au 2 novembre 2025
au musée Bonnard
du Cannet, 16 boulevard Sadi Carnot
Un certain regard
Chefs-d’œuvre de la collection Sidarta
Une collection privée jamais dévoilée, des chefs-d’œuvre réunis pour la première fois.
Le musée Bonnard présente une exposition exceptionnelle rassemblant plus de 60 œuvres majeures de la collection européenne Sidarta, encore jamais montrée dans son intégralité.
Autour de 28 artistes, de l’avant-garde au post-impressionnisme, cette exposition offre une plongée inédite dans l’évolution de l’art entre 1850 et 1950, entre peinture et sculpture, chefs-d’œuvre incontournables et découvertes rares. Parmi les artistes exposés : Balthus, Bonnard, Camille Claudel, Cézanne, Corot, Degas, Giacometti, Matisse, Monet, Morandi, Morisot, Picasso, Renoir, Seurat, Van Dongen, Vuillard… Un événement unique, à ne pas manquer cet été au musée Bonnard, pour redécouvrir un siècle d’art à travers un dialogue inédit d’artistes majeurs unis par la lumière, la couleur et la sensibilité.
De Chardin à Giacometti
Du 31 mai au 30 novembre 2025
au musée de Valence (Drôme)
De Chardin à Giacometti.
Prêts exceptionnels du musée d’Orsay
Le musée renouvelle son parcours artistique à la faveur du prêt de 22 chefs-d’oeuvre que lui accorde le musée d’Orsay. Les peintures de Jean-Baptiste Siméon Chardin, de Francesco Guardi, d’Eugène Boudin, d’Albert Marquet, de Paul Klee, de Fernand Léger, de Pablo Picasso, de Tal Coat, de Bram Van Velde et de Nicolas de Staël viennent ainsi ponctuer un parcours artistique renouvelé, tandis que les tableaux et sculptures d’Alberto Giacometti, ensemble remarquable d’après 1945, se déploient dans un espace monographique conçu pour l’occasion. Parmi ces grands noms de l’histoire de l’art, la sélection esquisse un panorama de quelques maîtres de l’art moderne occidental. I
Issues de la donation à l’État effectuée en 2000 par le physicien et collectionneur Philippe Meyer (1925-2007), ces oeuvres, attribuées au musée d’Orsay et habituellement présentées au musée Granet d’Aix-en- Provence, ont rejoint les salles du musée de Valence pour y être exposées du printemps à l’automne 2025.
Cezanne à Aix-en-Provence
Du 28 juin au 12 octobre 2025
au musée Granet
à Aix-en-Provence
Cezanne au Jas de Bouffan
Paul Cezanne est de retour chez lui. De sa maison familiale du Jas de Bouffan à la montagne Sainte-Victoire, le peintre a passé une grande partie de sa vie à croquer les paysages et les habitants de sa ville natale. Près de cent vingt ans après sa disparition en 1906, la cité provençale lui consacre un « grand événement » baptisé « Cezanne 2025″. Au cœur de la ville, tout près du collège qu’il fréquenta avec son ami Émile Zola, le musée Granet avec l’exposition Cezanne au Jas de Bouffan (Nouvelle fenêtre) reviendra sur quelque quarante ans passés dans cette bastide achetée par son père où il peignit certains de ses plus grands tableaux : les célèbres Joueurs de cartes, des natures mortes, des baigneuses, des portraits et des autoportraits. Les plus grands musées du monde ont prêté une centaine d’œuvres représentant cette propriété vendue à regret en 1899.
On pourra aussi découvrir des peintures de jeunesse méconnues de l’ombrageux Cezanne. Cette exposition complétera la restauration progressive, entre 2025 et 2026, pour un montant de 4,7 millions d’euros, de la fameuse bastide rachetée par la ville en 2018. Elle sera partiellement ouverte au public l’été prochain. L’atelier des Lauves où Cezanne travailla jusqu’à sa mort a également été restauré. Les lieux et les objets sont restés dans l’état où il les a laissés donnant l’impression émouvante qu’il occupe encore cette petite maison. Une expérience immersive sur un terrain attenant acquis par le Ville sera dévoilée l’été prochain.
Claude Monet aux Baux-de-Provence
Du 31 janvier 2025 au 4 janvier 2026
au Carrières de Lumières des Baux-de-Provence
Claude Monet aux Baux-de-Provence
Le site exceptionnel des Carrières de Lumières, au pied du château des Baux-de-Provence, consacre sa nouvelle rétrospective numérique au maître de l’impressionnisme. Conçue par Nicolas Charlin, elle est sous-titrée, Impression, soleil levant, en référence au célèbre tableau de Monet qui donna son nom au mouvement. Le directeur artistique s’est intéressé à la longévité de l’artiste, mort à 86 ans. Il vécut à cheval entre le XIXe et le XXe siècle à une période de grands bouleversements technologiques et sociaux.
Le peintre a su capter les transformations de son époque et les intégrer dans ses toiles, créant des œuvres à la fois sensibles et d’une grande modernité. La force des expositions immersives dans ces anciennes carrières de bauxite est de permettre au public de contempler les projections, en très haute définition et en musique, de ces chefs-d’œuvre dispersés dans le monde entier qu’aucun musée ne pourrait réunir. La seconde partie de l’exposition est consacrée au Douanier Rousseau.
Les chefs-d’œuvre d’Hokusai à Nantes
Du 28 juin au 7 septembre 2025
au musée d’histoire de Nantes du château des ducs de Bretagne
Les chefs-d’œuvre d’Hokusai à Nantes
Vagues, dragons, phénix… le château des ducs de Bretagne, qui abrite le musée d’histoire de Nantes, accueille 150 œuvres du maître japonais de l’estampe : Katsushika Hokusai. Après les samouraïs en 2014 et Toshihiro Hamano en 2021, cette exposition a été construite avec le musée Hokusai-kan, situé à Obuse, près de Nagano, dans les Alpes japonaises. Hokusai fit quatre séjours dans cette ville à la fin de sa vie, entre 1844 et 1846.
Elle lui inspira des peintures et des décors importants. L’exposition mettra en exergue plusieurs thèmes chers au maître japonais notamment sa relation à la nature, au végétal et à l’eau et sa confrontation au paysage en particulier le mont Fuji. La majeure partie des œuvres prêtées, dont une quarantaine de peintures, n’ont jamais quitté le Japon.
Les copistes à Metz
Du 14 juin 2025 au 12 janvier 2026
au Centre Pompidou
1, parvis des Droits de l’Homme
57020 Metz
Copistes
La copie est au cœur de la création artistique classique : les peintres copiaient autrefois les toiles des grands maîtres pour apprendre d’eux. On pense notamment à Delacroix, Matisse ou encore Picasso. En collaboration avec le Louvre, dernier musée à être encore titulaire d’un bureau des copistes, le Centre Pompidou-Metz consacre cette exposition inédite à la création de copistes.
Les deux commissaires ont invité plusieurs artistes à relever un défi formulé ainsi : « À partir de l’œuvre de votre choix conservée parmi les collections du musée du Louvre, imaginez sa copie. » Des peintres, des dessinateurs, des sculpteurs, des vidéastes, des designers et des écrivains se sont prêtés à l’exercice.
Les sorcières à Pont-Aven
Du 7 juin au 16 novembre 2025
au Musée de Pont-Aven
Place Julia, 29930 Pont-Aven
SORCIERES, fantasmes, savoirs, liberté (1860-1920)
Longtemps les sorcières ont incarné le vice, le mal, la vieillesse et la mort. La parution en 1862 du livre La Sorcière de l’historien Jules Michelet marque une rupture. En dévoilant les multiples visages de ces femmes, il réenchante la figure de la sorcière qui devient un emblème de révolte, de connexion à la nature et le symbole de la lutte des opprimés contre l’arbitraire.
Elle personnifie la femme forte qui menace l’ordre établi et deviendra un modèle et un symbole pour les féministes au cours du siècle suivant. Le parcours de l’exposition Sorcières (1862-1914), réalisée en partenariat avec le musée parisien d’Orsay, fait dialoguer les arts : peinture, sculpture, photographie, cinéma, musique, danse et littérature.
Hervé Di Rosa à Marseille
Du 12 mars au 1er septembre 2025
au Mucem de Merseille
Hervé Di Rosa
L’artiste sétois Hervé Di Rosa, concepteur de l’art modeste, a pensé qu’il y avait comme un air de famille entre ses œuvres colorées et les objets d’art populaires du Mucem. Il a donc choisi certaines pièces dans les collections du musée marseillais touchant sa sensibilité, pour créer, autour de chacune d’elles, une pièce complémentaire. Une armoire bretonne, un fusil de chasse, des jougs de bœuf, un orgue forain, pour ne citer que quelques exemples.
Pour présenter ce travail d’enchâssement des collections du Mucem par ses œuvres réalisées sur mesure (principalement des céramiques et des sculptures en bois), Jean Seisser, directeur artistique et vieux complice d’Hervé Di Rosa, a imaginé l’exposition comme un archipel constitué d’une quinzaine d’îlots. Chacune de ces îles rapproche quelques-uns des objets du musée d’une création d’Hervé Di Rosa.
Les fêtes et célébrations flamandes à Lille
Du 26 avril au 31 août 2025
au Palais des Beaux-Arts
A LILLE
Les fêtes et célébrations flamandes
Bals princiers, mariages ou kermesses populaires, le Palais des beaux-arts de Lille sera à la fête au printemps avec une exposition consacrée au divertissement collectif dans l’espace public, la première à répertorier et à traiter tous les types de fêtes en Flandre au XVIe et XVIIe siècles. Une centaine d’œuvres seront réunies (peintures, dessins, objets) notamment des toiles de grands maîtres de la peinture flamande comme Brueghel, Rubens ou encore Jacob Jordaens.
Rituel social, exutoire dans les périodes d’épidémie ou de guerre, la fête porte des valeurs propres à cette région qui résonnent encore aujourd’hui.
1925-2025: regards sur l’Art déco
Du 20 octobre 2025 au 29 mars 2026
au MAD – Musée des Arts décoratifs
107, rue de Rivoli, 75001 Paris
1925-2025. Cent ans d’Art déco
e musée des Arts décoratifs célèbre le centenaire de l’Art déco dans une exposition à la scénographie contemporaine. En 1925, l’Exposition des arts décoratifs et industriels modernes à Paris marque l’apogée de l’Art déco. Décorateurs, fabricants, magazines, grands magasins, artistes et même des nations étrangères se livrent une concurrence acharnée pour prendre possession des bâtiments parisiens ou érigent des structures temporaires pour présenter leurs dernières créations.
Du 21 octobre 2025 au 22 février 2026, le musée des Arts décoratifs célèbre le centenaire de ce style majeur et son succès, dans une exposition à la scénographie contemporaine.
Sargent – Les années parisiennes (1874-1884)
Du 23 septembre 2025 au 11 janvier 2026
au Musée d’Orsay
Esplanade Valéry Giscard d’Estaing, 75007 Paris
Sargent – Les années parisiennes (1874-1884)
John Singer Sargent (Florence, 1856 – Londres, 1925) est, avec James McNeill Whistler, l’artiste américain le plus célèbre de sa génération et sans doute l’un des plus grands peintres du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Adulé aux États-Unis (son portrait de Madame X est considéré comme la Joconde de la collection d’art américain du Metropolitan Museum of Art à New York), il est aussi célébré au Royaume-Uni où il a effectué la majeure partie de sa carrière. En France, cependant, son nom et son œuvre restent très largement méconnus, ce que l’exposition du musée d’Orsay à l’automne 2025 espère changer.
Conçue en partenariat avec le Metropolitan Museum of Art de New York, l’exposition « Sargent. Les années parisiennes » vise à faire découvrir ce peintre à un large public. L’exposition réunit plus de 90 œuvres de John Singer Sargent, dont certaines n’ont jamais été présentées en France. Elle retrace l’ascension fulgurante du jeune artiste, arrivé à Paris en 1874 à l’âge de 18 ans pour étudier avec Carolus-Duran. L’exposition couvre son parcours jusqu’au milieu des années 1880, période où il s’installe à Londres après le scandale suscité par son portrait de Madame Gautreau (Madame X) au Salon.
Pierre Soulages. Peintures sur papier
David Hockney
Du 9 avril au 1er septembre 2025
à la Fondation Louis Vuitton
8, avenue du Mahatma Gandhi, 75116 Paris
David Hockney
la Fondation invite David Hockney, l’un des artistes les plus influents des XXᵉ et XXIᵉ siècles, à investir l’ensemble de ses espaces d’exposition. Cette présentation exceptionnelle de plus de 400 œuvres de 1955 à 2025 rassemble, outre un fonds majeur provenant de l’atelier de l’artiste et de sa fondation, des prêts de collections internationales, institutionnelles ou privées.
L’exposition réunira des créations réalisées avec les techniques les plus variées – des peintures à l’huile ou à l’acrylique, des dessins à l’encre, au crayon et au fusain, mais aussi des œuvres numériques (dessins photographiques, à l’ordinateur, sur iPhone et sur iPad) et des installations vidéo.
Paris 1874, impressionnisme virtuel 2024
A partir d’octobre 2024
ECLIPSO, centre commercial confluence
112 cours Charlemagne à Lyon
Paris 1874, impressionnisme virtuel 2024
Paris, 15 avril 1874, huit heures du soir. Dans l’ancien atelier du célèbre photographe Nadar, boulevard des Capucines, une trentaine d’artistes indépendants s’apprêtent à exposer des œuvres novatrices en dehors du Salon officiel. Ambitieux, provocateurs, visionnaires… ces peintres s’appellent Claude Monet, Auguste Renoir, Berthe Morisot, Paul Cézanne, Camille Pissarro ou encore Edgar Degas. Cette initiative a marqué le coup d’envoi de l’un des courants majeurs de l’histoire de l’art : l’impressionnisme. Partez sur les traces de ce groupe de peintres audacieux et revivez, en réalité virtuelle, la naissance de ce grand mouvement artistique !
Découvrir la naissance de l’impressionnisme : Ce voyage temporel vous emmènera au-delà de l’exposition vers des lieux emblématiques des débuts du mouvement impressionniste. Vous serez ainsi transporté au Salon de peinture et de sculpture, puis dans l’atelier du peintre Frédéric Bazille, où l’idée de cette exposition a germé. Vous vous retrouverez également sur l’île de la Grenouillère, en compagnie de Monet et Renoir peignant ensemble, et enfin au Havre, où Monet a réalisé son célèbre tableau « Impression, soleil levant ». Ces différentes rencontres permettent de saisir progressivement les liens d’amitié et de rivalité qui unissent les membres du groupe, la nature de leur quête artistique et l’ampleur du mouvement qu’ils sont en train de créer.
Reconstitution historique et expertise scientifique : A quoi ressemblait le Paris de l’époque ? Comment l’atelier de Nadar était-il agencé ? Comment se présentait l’accrochage des tableaux de l’exposition ? Quelle était l’apparence des peintres ? Cette expérience est le fruit d’un travail scientifique ambitieux et minutieux, accompagné par le musée d’Orsay et ayant permis de reconstituer, aussi fidèlement que possible, ce tournant artistique majeur.
Collection Pearlman : un dépôt exceptionnel
A partir du 28 juin 2025
Pour une durée de 3 ans
à la chapelle des Pénitents Blancs à Aix-en-Provence
Collection Pearlman : un dépôt exceptionnel
Présentant 24 œuvres notables de Cezanne, dont l’une des plus belles peintures de la Sainte-Victoire – au cœur d’une année dédiée au maître aixois -, des Van Gogh, mais aussi des Toulouse-Lautrec, Gauguin ou encore Degas, elle va prendre place dans les espaces de la chapelle des Pénitents blancs et cohabitera avec une partie de la collection Planque présentée depuis 2013.
La collection Pearlman constitue aujourd’hui encore l’une des plus importantes collections d’art européen des États-Unis. Il y a 10 ans, les tableaux exposés au musée Granet avaient déjà attiré plus de 115 000 visiteurs.
Ce prêt à la Ville est le fruit d’une relation établie avec la Fondation, mais aussi un hommage de longue date de Henry et Rose Pearlman pour Aix et son rôle majeur dans l’oeuvre de Cezanne.
Pierre Mondan, un peintre dauphinois, présenté par Patrice Lanet
Cliquer sur les tableaux pour les agrandir
Une grande partie de l’oeuvre de Pierre Mondan (1900-1981) traduit la beauté du lac de Paladru et de ses environs, les villages, les fermes,
les maisons dauphinoises. Durant trois ans, il sera pensionnaire de la Casa Vélasquez à Madrid. Il dispensait des cours de peinture et de dessin et ses expositions dans la capitale (galerie Durand-Ruel) ou en province, se déroulaient entre 1940 et 1970.
Jean-Paul Gautier – Artiste peintre

Jean-Paul Gautier – Artiste Peintre à la Côte Saint André
Né en 1952 en Avignon, réside actuellement à la Côte-St-André en Isère; autodidacte, son œuvre prend naissance dans les années 80. Pour l’essentiel dans le Nord-Isère, mais également en Provence et en Bretagne.Ses thèmes de prédilection sont les paysages et les gens.
Analyste chercheur et humaniste, il puise dans les leçons des grands maîtres du passé et porte un regard sensible sur tout ce qui l’entoure, il affectionne particulièrement les gestes de la ruralité, les scènes traditionnelles de la campagne et le plaisir immédiat de peindre la nature.
Daise-Desarmagnat

Ma démarche s’annonce comme “synthétisme existential”. Ces termes ont été finalement adoptés selon l’aspect récent d’un ensemble pictural commencé en 1963.
l’atelier est situé en Rhône-Alpes, entre la plaine de la Bièvre et la grande forêt de Chambaran, sur l’axe Lyon-Grenoble, il est proche de la Côte Saint André, ville natale d’Hector Berlioz, proche également de Saint Etienne de Saint Geoirs où naquit en 1898 Rose Valland Officier Beaux-Arts, héroïne infatigable ayant accompli une tâche extraordinaire pour la restitution des œuvres spoliées durant l’occupation.
Damien Capelazzi

Il y a plus de 20 ans maintenant, Damien Capelazzi, historien et critique d’art a créé Artagora, une entreprise culturelle, basée sur Lyon, qui a pour vocation la transmission de l’art. Il propose des conférences au cours desquelles il présente la vie d’un artiste et son œuvre. Pour de plus amples informations, consulter le site
Cyril Devès
